Rêves, chimères et mascarade

22 septembre 2009 au 10 octobre 2009

Maîtrise d'œuvre Réal Bossé, Pascal Contamine, Christian LeBlanc
Interprétation-création Sabrina Connell-Caouette, Jennyfer Desbiens, Solo Fugère, Xavier Malo, Sacha Ouellette-Deguire, Anne Sabourin
Assistanat Rolland-Hugues Laniel
Scénographie Charlotte Rouleau
Peinture scénique Charlotte Rouleau et Caroline Alder
Costumes et accessoires Charlotte Rouleau assistée de Caroline Alder
Chef d'atelier Gilles-François Therrien
Couture Lisange Boulais
Son Éric Forget
Lumières Mathieu Marcil
Maquillage et coiffure Dany Cournoyer
Direction technique Réal Dorval, Anne Plamondon
Direction de production Marie-Christine André, Jean Asselin
Communications Jean-Sébastien Rousseau
Communication interne Sylvie Chartrand, Anick Viau

Synopsis

Tradition issue du « prêt-à-penser » que celle d’écrire un mot dans un programme qui t’explique ce que tu devrais voir et y voir, te donne les clés, voire le pourquoi. Ici, permettez nous de vous inviter, tout simplement, à un lâcher prise pour vous imprégner de la tessiture d’une fresque bariolée où se côtoient la métaphore et le quotidien, où le laid épouse le beau. Une peinture où se superposent l’exacerbation, le cul, la violence, la détresse, l’engagement, l’espoir et le doute. Un sujet ? Peut-être nos craintes ? Nos pathologies ? Peut-être est-il question d’effritement ? Celui des icônes, du béton, des valeurs, de nos valeurs bétons, de la valeur du béton… Peut-être, y verrez vous le sceau d’une génération. Rien de sûr. Nous avons fabriqué cette chimère avec le désir qu’elle nous échappe et vive librement.

Ce projet est l’histoire d’un « blind date » créatif. La rencontre de trois cerveaux tordus, aux démarches diamétralement opposées. Bien sûr, les épreuves auront été nombreuses et cette aventure n’aurait pas été possible sans la sagesse du Grand Manitou à l’origine du projet, Jean Asselin, l’effi cacité de toute l’équipe d’Omnibus, la fi nesse et la grande souplesse des concepteurs et de notre assistant maître d’oeuvre et surtout l’immense générosité et la fougue des six jeunes interprètes.