Titom

19 au 21 décembre 1991 au Centre National des Arts du Canada
26 décembre 1991 au 3 janvier 1992 au Théâtre Jean-Duceppe

Texte Gilles Vigneault et Marcel Sabourin
Coproduction Omnibus le corps du théâtre, le Centre National des Arts du Canada (CNA), la Société de la Place des Arts de Montréal, la Société du Grand Théâtre de Québec et Les Productions Le Nordet inc.
Mise en scène Jean Asselin
Assistance à la mise en scène Anne Plamondon
Distribution Francine Alepin, Réal Bossé, Marc-André Brouilette, Paul Buissoneau, Hugolin Chevrette-Landesque, Benoît Dagenais, Françoise Faucher, Silvy Grenier, Lissa Guilbault, Jacques E. Le Blanc, Sylvie Moreau, Luc Senay, Guy Trifiro
Scénographie Daniel Castonguay assisté de Fabien Deschênes
Costumes Yvan Gaudin assisté de Mimi Boulay
Musique Gilles Vigneault, Robert Bibeau
Lumières Nicholas Cernovitch
Direction de scène Anne Plamondon
Communications internes Laurence Jourde

L’histoire se déroule dans une famille d’un petit village du Québec. Les personnages de cette famille rappellent la légende de la Nativité et l’action tourne autour de Titom. 
Titom est un petit garçon de 10 ans, fouineux, curieux, vif, qui parle très vite parce qu’il a besoin de se faire aimer beacoup et tout de suite. Il est orphelin de mère et il deviendra le héros de l’histoire. 
Il le deviendra en délivrant d’une malédiction et d’une errance millénaire l’hôtelier qui refusa, il y a 2000 ans, la porte de son auberge et surtout celle de son coeur à Joseph et à Marie, à la veille de la naissance de leur enfant. 
Un ancien chantre, son père - que tout le monde appelle Ness et qui s’appelle Jean-Ernest -, une grand mère indulgente et pleine de tours qui se nomme Amélie, et surtout un certain quêteux qui apparaît dans ce village à tous les 33 ans, enfin trois amis de son âge et une petite soeur espiègle encore seront donc les artisans de son bonheur à travers mille peurs, mille rires, bien sûr, et mille épreuves qui mèneront Titom dans les bras de son papa retrouvé. 
Le plus immigrant, le plus étranger des êtres qu’il nous est donné d’accueillir dans notre coeur et sous notre toit, c’est encore tous les jours un enfant qui va naître, qu’il s’appelle Jésus, Giulietta, Ahmed, Yukiko, Natacha ou Titom. 
Gilles Vigneault